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Critique de Enagrom
C'est avec plaisir que j'ai découvert Andreas Eschbach avec Des milliards de tapis de cheveux. Je suis entrée dans la danse et me suis laissée entrainée dans ce roman-ronde.
Pas de personnage principal à proprement parler ici, mais un enchainement de chapitres qui nous fait découvrir peu à peu l'univers proposé par l'auteur. On fait quelques pas en compagnie d'un homme, d'une femme, voire d'une famille et à la manière d'une farandole, le chapitre suivant prend le relais et dévoile un peu plus la chorégraphie dans son ensemble.
Pour le genre, on démarre sur de la Fantasy : la société est divisée en castes et celle des tisseurs tient une grande place. Tout au long de sa vie, le tisseur travaille à la conception et à la fabrication d'un unique tapis, qui servira à décorer le palais de l'empereur, réalisé avec les cheveux de ses femmes et de ses filles. L'argent qu'il récoltera de la vente de cette oeuvre servira à son unique fils qui reprendra le flambeau et pourra ainsi subvenir aux besoins de sa propre famille. Ainsi en est-il depuis des temps immémoriaux.
Puis le récit s'ouvre sur la Science-fiction à mesure qu'on comprend qu'au fil des siècles le palais de l'empereur devrait crouler sous des montagnes de tapis de cheveux alors qu'en réalité il n'en est rien.
L'écriture est belle, le voyage m'a plu et j'ai trouvé l'énigme de ces tapis captivante.
Pas de personnage principal à proprement parler ici, mais un enchainement de chapitres qui nous fait découvrir peu à peu l'univers proposé par l'auteur. On fait quelques pas en compagnie d'un homme, d'une femme, voire d'une famille et à la manière d'une farandole, le chapitre suivant prend le relais et dévoile un peu plus la chorégraphie dans son ensemble.
Pour le genre, on démarre sur de la Fantasy : la société est divisée en castes et celle des tisseurs tient une grande place. Tout au long de sa vie, le tisseur travaille à la conception et à la fabrication d'un unique tapis, qui servira à décorer le palais de l'empereur, réalisé avec les cheveux de ses femmes et de ses filles. L'argent qu'il récoltera de la vente de cette oeuvre servira à son unique fils qui reprendra le flambeau et pourra ainsi subvenir aux besoins de sa propre famille. Ainsi en est-il depuis des temps immémoriaux.
Puis le récit s'ouvre sur la Science-fiction à mesure qu'on comprend qu'au fil des siècles le palais de l'empereur devrait crouler sous des montagnes de tapis de cheveux alors qu'en réalité il n'en est rien.
L'écriture est belle, le voyage m'a plu et j'ai trouvé l'énigme de ces tapis captivante.
