Un roman touffu et enlevé dans la forme mais, malheureusement, assez pauvre dans le fond. le style à la Almodóvar, faisant penser au mouvement Post Movida, se retrouve ici, mais l'intrigue reste plate, l'identification aux personnages, égocentriques, reste impossible.
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Les „théories psychologiques“ balayent en quelques secondes
Freud et la psychanalyse, afin de se complaire dans celle de Cosmo.
Reste le côté effervescent de l'écriture, le mode de fonctionnent en ébullition et enlevé des madrilènes. Mais c'est tout de même 500 pages pour pas grand chose… Comme l'impression qu‘Extebarría tombe dans son propre piège; un roman presque vide pour une critique de la société du vide. Peut-être qu'une nouvelle aurait pu faire le job.
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