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Critique de Somewhere
Habituée des romans jeunesse, le synopsis de ce roman me tentait bien ...
J'avoue être perplexe quant à mon ressenti après lecture.
J'ai eu beaucoup de difficultés à entrer dans l'histoire. Quelques pages par-ci par-là ... je n'arrivais pas à me lancer dans la lecture. Mais maintenant que la dernière page est tournée, je voudrais bien avoir la suite.
Le début m'a semblé trop rapide. Tout survient trop vite, trop brusquement. Il y a une accumulation d'actions et d'informations en quelques pages seulement. Je trouve qu'on ne peut pas prendre le temps de découvrir Harrison et Schram. Et c'est dommage. Il me faut du temps pour apprendre à connaître et aimer les personnages. Ce n'est qu'à la fin du livre que j'ai vraiment commencé à apprécier l'histoire et les deux héros. Ce petit garçon rêveur et son robot ... complétement hors norme dans une société futuriste et effrayante.
La société est régie par l'Ordinateur Central et les pilules du docteur Ziegler. Tout est sous contrôle. Les sentiments n'existent pas. Les sensations non plus. L'homme n'est qu'une machine vide. Interdiction de rêver, de penser, d'imaginer, de croire ...
Harrison est un petit garçon de 11 ans qui a grandit avec Schram, son robot protecteur. Son père n'est là que de temps en temps. de toute façon ce n'est pas grave. Dans cette société, les enfants partent de chez eux à 12 ans et n'ont plus aucun rapport avec leurs parents. Au début du roman, il fait un rêve effrayant ... or il est interdit de rêver. C'est à partir de ce moment que tout s'enchaîne ...
Même si j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, au final je pense que je conseillerai le livre à de jeunes lecteurs. Je vais le tester au CDI, auprès des bons lecteurs, histoire de recueillir leur ressenti et de pouvoir comparer avec le mien ...
J'avoue être perplexe quant à mon ressenti après lecture.
J'ai eu beaucoup de difficultés à entrer dans l'histoire. Quelques pages par-ci par-là ... je n'arrivais pas à me lancer dans la lecture. Mais maintenant que la dernière page est tournée, je voudrais bien avoir la suite.
Le début m'a semblé trop rapide. Tout survient trop vite, trop brusquement. Il y a une accumulation d'actions et d'informations en quelques pages seulement. Je trouve qu'on ne peut pas prendre le temps de découvrir Harrison et Schram. Et c'est dommage. Il me faut du temps pour apprendre à connaître et aimer les personnages. Ce n'est qu'à la fin du livre que j'ai vraiment commencé à apprécier l'histoire et les deux héros. Ce petit garçon rêveur et son robot ... complétement hors norme dans une société futuriste et effrayante.
La société est régie par l'Ordinateur Central et les pilules du docteur Ziegler. Tout est sous contrôle. Les sentiments n'existent pas. Les sensations non plus. L'homme n'est qu'une machine vide. Interdiction de rêver, de penser, d'imaginer, de croire ...
Harrison est un petit garçon de 11 ans qui a grandit avec Schram, son robot protecteur. Son père n'est là que de temps en temps. de toute façon ce n'est pas grave. Dans cette société, les enfants partent de chez eux à 12 ans et n'ont plus aucun rapport avec leurs parents. Au début du roman, il fait un rêve effrayant ... or il est interdit de rêver. C'est à partir de ce moment que tout s'enchaîne ...
Même si j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, au final je pense que je conseillerai le livre à de jeunes lecteurs. Je vais le tester au CDI, auprès des bons lecteurs, histoire de recueillir leur ressenti et de pouvoir comparer avec le mien ...
