Du
Fabrice Caro. C'est déroutant et une agréable surprise, j'imagine, si on ne connait pas l'énergumène, mais lorsqu'on a derrière soi de nombreuses autres BD de l'auteur, on ne peut s'empêcher de trouver que les ficelles de l'absurde sont redondantes, ou plutôt, qu'en l'absence de ficelles, l'absurde a de moins en moins d'effet; l'humour décalé marche en fonction de repères d'avec lesquels il rompt, mais chez Caro, tout est tellement décalé qu'à la fin on est usé de n'avoir aucun repère cohérent.
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