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Citations sur Le mondialisme contre nos libertés. Les dossiers de la .. (13)

Le vacarme organisé à Davos, à la fois par Klaus Schwab et Claude Smadja, les dirigeants de ce Forum annuel, et par José Bové, FILS DE CHERCHEURS A BERKELEY (USA) et GAUCHISTE D’APPARENCE, n’est que du cinéma. Avec pour but de faire croire que, dans le monde –et en particulier en Europe – il y a d’un côté les mondialistes des multinationales, et, de l’autre, une gauche humaniste, seule à défendre les pauvres et les victimes de l’américanisation de nos sociétés.

Il faut s’entendre. Faute de savoir le sens des mots, la plupart des commentateurs confondent « mondialisation » (qui est un état de fait, puisque le progrès a réduit les distances et modifié les conditions de production) et « mondialisme ».
Dans ce dernier cas, il s’agit d’un MESSIANISME SECTAIRE destiné à démolir les Etats-Nations et à les remplacer, sous prétexte de progrès, par des INSTITUTIONS SUPRANATIONALES, à la fois sur chaque continent, et, au-dessus d’eux, par UNE SORTE DE GOUVERNEMENT DU MONDE né d’un groupe d’initiés dont le pouvoir procède à la fois des multinationales, qui, comme à Davos, représentent les 4/5èmes de la production industrielle mondiale, et de leurs conseillers issus d’Instituts et organismes à vocation internationaliste.

(Ch. V, L’EVOLUTION DU MONDIALISME (1999 – 2001), p. 80-81)
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« Kissinger on the couch », publié par Arlington House, USA, 1975, a pour auteur l’amiral de réserve Chester Ward lui aussi du C.F.R. (Council on Foreign Relations), mais soudain inquiet des combinaisons dont Kissinger était le pivot, depuis le milieu de 1960 à 1974, dans ses rapports officiels et secrets avec Moscou.

D’autres que nous, en France, le savent mais ont peur de le dire afin de protéger leur carrière journalistique ou politique. Il y a plus de courage et de liberté d’expression en Angleterre où « l’Economist » énumérait, dans son numéro du 25 décembre 1992, la douzaine de sociétés d’influence qui existent dans le monde occidental, en signalant que « l’Ordre des Illuminés », en son temps, fut leur père.
Il citait notamment « Skull and Bones », fraternité secrète créée à Yale University en 1832, qui, chaque année depuis, recrute quinze membres (après « tests ») au sein des promotions nouvelles.
Le président Bush a été le plus visible des membres actuels.
Il citait aussi le Groupe de Rhodes qui, tous les ans, depuis un siècle, offre des bourses d’études à Oxford, à des universitaires anglais et américains soigneusement sélectionnés, pour les mouler aux idéaux internationalistes qui sont, en fin de compte, ceux du C.F.R. (né en 1919 comme son jumeau anglais le Royal Institut of Foreign Affairs, R.I.I.A.).

(Ch. III, ETATS-UNIS, PLATE-FORME DU MONDIALISME (1993-1994), p. 53-54)
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La désinformation dans ce domaine a permis au camp soviéto-marxiste et à ses troupes de lancer des campagnes selon lesquelles Trilatérale et Capitalisme ne faisaient qu’un : qu’il s’agissait d’une monstrueuse conspiration des Puissants contre les Pauvres, du monde riche contre le Tiers-Monde, etc.
Or il s’agissait bien d’une conspiration, mais d’une conspiration dont on occultait l’objet majeur : REORGANISER LE MONDE MAIN DANS LA MAIN AVEC L’EMPIRE TOTALITAIRE SOVIETIQUE, A PARTIR DU JEU ECONOMIQUE EST-OUEST ET NORD-SUD PARFAITEMENT COMBINE, QUELS QUE SOIENT LES « EVENEMENTS ».

La conspiration n’était pas secrète, en ce sens que la Trilatérale avait pignon sur rue dans plusieurs capitales. Mais n’y accédaient que les Initiés. Non secrète, parce qu’on pouvait se procurer certaines de ses études (près de 24 en 1984, en 10 ans) mais pas toutes, ni ses délibérations internes, ni les programmes de ses rencontres discrètes avec divers partenaires soviéto-marxistes.
Non secrète parce qu’on pouvait se procurer la liste de ses membres.
Mais on ne pouvait pas savoir sur quels critères on avait choisi le PDG de Dunlop et non celui de Michelin, ou 3 ou 4 des banquiers américains les plus importants, mais sur les 15 ou 20 premières banques, celle-ci plutôt que celle-là, etc.

(Des clefs pour comprendre la réalité, p. 14-15)
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