La satire, au fil de l'oeuvre, laisse place à une mélancolie qui serre le coeur : sorte de Vie devant soi à l'envers (où l'enfant est un vieux et la ville est la
campagne), la morale n'y est pas martelée et pourtant le roman nous parle, les habitants sont tantôt abominables tantôt bouleversants. Bref, c'est un récit rempli d'humanité, de vraie humanité, faible ou grandiose.
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