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Critique de pierreberville
Il y a beaucoup d'humour British dans ce roman d'aventures Americano-Alsaciennes, écrit par une citoyenne du monde à l'esprit vif qui manifestement adore les voyages. Les sourires de Wodehouse, de Jérome k. Jerome, de Peter Mayle flottent sur ce récit détendu d'un couple que tout oppose à l'exception de l'affection amicale qui les réunit.
L'humour, le flegme, le souci de plaisanter avec le lecteur qui, ravi, en redemande sont là. L'autrice ( puisqu'on dit comme cela maintenant, en ces temps de retour au pré-Vaugelas) les trimballent de Broadway à Niederreberschwir avec une verve jamais démentie. Une légèreté réjouissante servie par un sens de l'observation et du détail amusant à toutes les pages. Et une galerie de personnages aussi divertissants les uns que les autres. Bref, on adore...
L'humour, le flegme, le souci de plaisanter avec le lecteur qui, ravi, en redemande sont là. L'autrice ( puisqu'on dit comme cela maintenant, en ces temps de retour au pré-Vaugelas) les trimballent de Broadway à Niederreberschwir avec une verve jamais démentie. Une légèreté réjouissante servie par un sens de l'observation et du détail amusant à toutes les pages. Et une galerie de personnages aussi divertissants les uns que les autres. Bref, on adore...
