Lu en 2020. Ce récit touche à l'intime et à l'universel. La plume de l'auteure est à la fois percutante, lumineuse, juste et sans pathos, et c'est ce que j'avais particulièrement apprécié.
Un récit qui parle d'identité, d'éducation, d'exil, de relations mère-fille, de transmission et d'émancipation. La reproduction du schéma culturel et éducatif (toxique) est au centre de ce roman. Les scènes de maltraitance sont d'une violence inouïe, et l'on est écoeuré par l'absence de signalement, l'indifférence générale, voire l'approbation tacite.
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