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Critique de LettresCapitales


Éric Faye s'est imposé dans le paysage littéraire des 30 dernières années par une prose cultivant avec finesse l'équilibre précaire entre le réel et l'imaginaire où l'imprévu surgit pour semer le doute sur l'ordre fragile des choses («Nagasaki») dans un univers où l'écrivain renonce à son omniscience pour se fondre derrière l'évidence de son écriture («L'homme sans empreintes»), se contentant du regard hypnotique qu'il jette sur le monde («Éclipses japonaises»)

Dans son nouveau roman, «La télégraphiste de Chopin» (Éd. du Seuil), il nous embarque dans une histoire invraisemblable de medium et de transmission d'écriture musicale. le récit navigue dans les eaux effervescentes du roman policier à la manière de la Státní Bezpečnost tchèque et le conte fantastique dans toute sa splendeur boulgakovienne.
Lien : https://lettrescapitales.com..
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