Quand j'ai vu ce tome en librairie, j'ai (mentalement) effectué un petit pas chassé. J'ai alors repris le précédent livre que j'ai relu pendant longtemps. Déjà parce que je regardais en parallèle une série qui me tournait autour depuis des mois. Mais aussi parce que, même si cette relecture fut un régal je réalisais ô combien je l'avais oublié en trois ans.
Trois ans.
Ce qu'il faut pour l'école des loisirs à sortir ses romans en poche.
Et à lire ce deuxième tome (à toute vitesse) (avidement même, musique et tempo rapide) je réalise qu'il me faudra tout recommencer dans trois ans.
Car si les feuilles défilent plus rapidement qu'un fox trot, si les événements s'assombrissent dans l'Amérique de nos personnages, si on ne s'ennuie jamais, on réalise que ce livre n'est qu'un entre deux. Un prolongement du quotidien effréné des pensionnaires de la maison Giboulées pour qui rien n'avance ni ne change vraiment. Alors rendez-vous dans trois ans dear old sports. J'ai hâte de croquer de nouveau dans vos aventures.
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