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Critique de Herrera


🩰Quel plaisir que de retrouver une dernière fois tous nos petits pensionnaires des Giboulées !
Malika Ferdjoukh nous emporte encore une fois dans un New York rempli de folies et d'extravagance où l'on croit le jeune Marlon Brando, Grace Kelly courant les auditions, Fred Astaire au restaurant et tant d'autres…

Pour ma part, cela faisait un an que j'attendais la sortie de ce dernier livre, avec les rebondissements qui l'accompagnent, en effet, ce dernier tome était prévu pour le mois de décembre et nous a fait attendre jusqu'en mai. Mais bon, une fois en main, on ne veut qu'une chose : savoir quels choix vont faire Chic, Page, Ursula, Etchika, Manhattan, Hadley, Dido, Arlan, Jocelyn et tous les autres. Attention, qui dit «roman choral», dit aussi « beaucoup de personnages dont les destins s'entre-croisent », et effectivement, ce dernier tome joue avec nos nerfs.

Malheureusement, tous les personnages ne sont pas logés à la même enseigne, si les destins de Chic, d'Hadley (forcément), d'Arlan, de Page ou de Manhattan m'ont passionnés, étonnement, je me suis désintéressée de la vie de Jocelyn et Dido. D'une part, le triangle amoureux Chic-Hadley-Arlan met le lecteur sous-tension tout le livre durant, et les relations Scott-Uli-Manhattan apportent la douceur qui nous manquait. D'autre part, je dois l'avouer, Dido m'a énervée sur ce dernier tome et j'y ai retrouvé un Jocelyn sans grande consistance.

Cela n'empêche pas cette belle saga d'être un coup de coeur !

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