On continue notre tour du Monde avec un voyage au coeur de l'Italie, et au coeur des violons. le fantastique dans "
Le Violon Noir", bien que léger, rajoute encore un "truc", un plus aux romans de
Fermine dont, décidément, je n'arrive pas à trouver de défauts. Celui-ci comme n'importe quel autre, comment faire une critique quand vous avez le même sentiment de perfection à chacune de vos lectures? C'est ce qui m'arrive avec
Maxence Fermine, dont, petit à petit, je profite de sa bibliographie qui, à mon sens, est pour l'instant sans zones d'ombre. Perfecto!
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