Lu en 2019. Je retrouvais pour la troisième fois la plume de
Maxence Fermine, qui m'avait tant subjuguée dans "
Neige".
Un récit au rythme et à la sobriété bienfaisants, emprunt d'un onirisme et d'un lyrisme enchanteurs. Ce violon noir avait joliment fait vibrer ma corde sensible.
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