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Critique de Diabolau


1956 : de la Casbah au quartier européen à Alger, le FLN et l'OAS se rendent maintenant coup pour coup à grands coups d'attentats terroristes.
Tandis que Samia prend le parti des indépendantistes sans pour autant en approuver toutes les méthodes, il en est de même pour son amant d'un jour Octave Alban, de retour la queue entre les jambes de la crise de Suez, et qui lui non plus n'approuve guère les méthodes de son chef.
Quant au petit Saïd, il est devenu harki malgré lui et est haï d'un bord comme de l'autre.
Ferrandez a cette capacité rare de renouveler son dessin à chaque tome, faisant sans arrêt évoluer ses techniques, notamment d'aquarelle, ce qui fait qu'on a presque l'impression parfois de changer régulièrement d'illustrateur.
J'ai moins accroché au style de celui-ci, parfois un peu chargé et aux enchaînements un peu moins limpides, avec des personnages qui se ressemblent parfois beaucoup, notamment côté FLN.
L'histoire reste cependant, au global, toujours aussi prenante, d'autant que contrairement à son habitude, il arrête ce tome-ci en pleine action.
Cap sur le suivant, donc.
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