Je n’aime pas trop les messages anonymes. Ils ont parfois fait passer un certain nombre de rédactions pour des guignols…
Des petits malins profitant de l’aubaine pour cracher quelque venin contre les autorités, les mêmes qui bavent à l’envi sur les réseaux sociaux en martyrisant la langue française mais disparaissent dès qu’il faut agir…
Les superhéros n’existent qu’au cinéma, qu’ils soient superflics, ou supercriminels.
Le meurtrier finira forcément par commettre une erreur ; même minime, cette dernière peut avoir un effet de levier sur l’enquête.
Moins on remuait la fange, et mieux on se portait.
On ne supprime pas quelqu’un parce qu’on a eu vent qu’il a perpétré des horreurs dans son passé !
Les mots mêlés, aussi compliqués soient-ils, peuvent se lire dans tous les sens, à l’endroit comme à l’envers. J’en pratique de nombreuses fois, cela me détend, après tout… ce que je vois ici… Là, rien, cela ne mène nulle part. Comment relier des lettres, des signes ou des sons dans divers idiomes pour créer des mots ? C’est l’impasse, linguistiquement parlant.
La mort a vraiment une odeur pas comme les autres, reconnaissable entre toutes !
Souvent, en fouillant dans le passé des victimes, on finit par trouver une piste, même ténue, qui nous mène au meurtrier…