Premier roman de cet auteur pour moi. L'auteur reprend, sans s'en cacher, le meurtre des chevalines qu'il cite dans le roman.
Deux couples sur un parking, l'un dans une voiture, l'autre revenant d'une randonnée sont assassinés par un homme à moto juste avant le confinement. Oui, il parle d'un virus mondial, de confinement, de masques, de stress et de vaccin miracle. On peut même dire que dans le roman le monde s'en sort mieux que dans la réalité.
Une journaliste indépendante qui écrit des livres sur des affaires policières non résolues, jusqu'à son intervention, vient donc y mettre sa plume.
Sur le quart, je me suis laissée porter mais très vite les mêmes idées tournent en boucle, le style est assez plat, tout le monde est suspect, même elle !
La fin ne tient pas la route tout comme tout ce qui nous est dévoilé. Même le titre ne colle pas ! Je ne parle pas des histoires d'amour qui n'apportent absolument rien.
Le meurtrier travail dans un hôtel et est engagé par un laboratoire pour tuer leur concurrent qui trouvera le vaccin et cela avant même le confinement mais le meurtrier est tellement naze qu'il ne tue pas la bonne personne ! Mais par contre, il assassine à tout va par la suite. Et la journaliste est encensée par la procureur qui veut la faire rentrer dans la police judiciaire alors qu'elle n'a rien découvert et qu'elle s'est faite endormir par le coupable rien que ça !
Je vais donc faire l'impasse sur les suivants de cet auteur mais vous laisse le libre choix de le lire ou pas.
Commenter  J’apprécie         180