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Critique de Carteroutiere
Le récit de la déportation de l'auteur dans le comp de Milles en 1940. Un témoignage beau et sombre sur la condition des hommes en groupe. Ce livre m'a interpellé sur trois points le premier est la notion de diable. Si Dieu, selon l'expression allemande, est heureux en France, pourquoi le diable ne le serait-il pas ? Pour l'auteur, le diable se cache dans le je-men-tourisme, l'administrée au sens negatif du terme et l'indolence. Il y a du diable aujourd'hui encore aussi bien dans les attitudes face au covid que dans la vue au sein des entreprises.
Le deuxième point est sur la mémoire. Entre les faits relevés et notes et la mémoire sélective, que‘est ce qui le plus important, le plus réaliste ? Les faits sans les émotions et le ressenti ne sont rien. Après tout comme l'a dit un philosophe, l'Histoire n'est qu'un moyen de donner du d et ne s l'absurde.
Le troisième point est la contradiction entre notre incapacité à saisir tous les éléments contextuels d'une situation et notre volonté d'avoir une explication à tout. Cela peut nous conduire à l'illogique voire aux solutions toutes faites qui corroborent nos pensées.
Un livre très actuel sur tous ces points pour lire et analyser notre monde actuel.
Le deuxième point est sur la mémoire. Entre les faits relevés et notes et la mémoire sélective, que‘est ce qui le plus important, le plus réaliste ? Les faits sans les émotions et le ressenti ne sont rien. Après tout comme l'a dit un philosophe, l'Histoire n'est qu'un moyen de donner du d et ne s l'absurde.
Le troisième point est la contradiction entre notre incapacité à saisir tous les éléments contextuels d'une situation et notre volonté d'avoir une explication à tout. Cela peut nous conduire à l'illogique voire aux solutions toutes faites qui corroborent nos pensées.
Un livre très actuel sur tous ces points pour lire et analyser notre monde actuel.
