>
Critique de Lenora
Quelle belle surprise que ce roman !
Depuis longtemps atteint du célèbre syndrome de la page blanche, le narrateur réussi enfin à retrouver l'inspiration à travers le visage d'un camarade de lycée de sa fille. Il veut écrire son histoire, mais le jeune homme, Adel, est loin d'être très causant. de ce fait et en apprenant qu'il a un penchant pour la géographie, le narrateur l'invite à lui rendre visite pour pouvoir feuilleter les atlas qu'il a chez lui. Mais autant le jeune homme délivre quelques mots sur lui, cela ne suffit pas. Alors l'écrivain ira lui-même à la recherche d'informations sur ce qui s'est passé quelque temps plutôt et qui mêle son père et un professeur un peu marginal dans l'histoire. Peu à peu, les découvertes se font profondes et des réalités s'imposent à ces personnages. Et finalement, certains se retrouveront eux-même.
Je ne saurai comment expliquer l'émotion qu'Azza Filali a réussie à provoquer en moi, mais il est doux et mélancolique à la fois. Il est beau, mais triste. Il est surprenant et accompagné d'un petit côté banal.
Je ne vous dirai alors qu'une chose : bonne lecture !
Depuis longtemps atteint du célèbre syndrome de la page blanche, le narrateur réussi enfin à retrouver l'inspiration à travers le visage d'un camarade de lycée de sa fille. Il veut écrire son histoire, mais le jeune homme, Adel, est loin d'être très causant. de ce fait et en apprenant qu'il a un penchant pour la géographie, le narrateur l'invite à lui rendre visite pour pouvoir feuilleter les atlas qu'il a chez lui. Mais autant le jeune homme délivre quelques mots sur lui, cela ne suffit pas. Alors l'écrivain ira lui-même à la recherche d'informations sur ce qui s'est passé quelque temps plutôt et qui mêle son père et un professeur un peu marginal dans l'histoire. Peu à peu, les découvertes se font profondes et des réalités s'imposent à ces personnages. Et finalement, certains se retrouveront eux-même.
Je ne saurai comment expliquer l'émotion qu'Azza Filali a réussie à provoquer en moi, mais il est doux et mélancolique à la fois. Il est beau, mais triste. Il est surprenant et accompagné d'un petit côté banal.
Je ne vous dirai alors qu'une chose : bonne lecture !
