La prose poétique, gorgée de formules éclatantes et décalées de
Frédéric Fiolof agit comme une potion réconfortante, la consolation fine d'une catastrophe qui ne nous est pas nécessairement encore arrivée, mais qui viendra, inexorablement : la perte des parents, déchirante, révoltante, malgré « l'ordre des choses », formule qui prévient mais ne guérit rien. Pudique, ravalée, la peine se mue en lueurs discrètes, fraternelles. Très beau.
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