Oublie-t-on jamais son premier amour ? Voilà qui pourrait être le thème de ce roman graphique de
Manuele Fior, récipiendaire du Fauve d'or 2011, qui laisse mélancoliques du temps qui passe et des occasions manquées. À part pour ce qui est de la fin, je ne peux pas dire que j'ai été vraiment touchée par cette histoire somme toute assez mince, tout au plus esquissée. Bien que j'aie trouvé intéressante l'idée de faire varier les couleurs selon les lieux et les époques, je n'ai pas particulièrement aimé le dessin des personnages, leurs expressions faciales, ni leur coloration, la plupart du temps jaune citron ou vert lime. le descriptif m'avait beaucoup intéressée; peut-être suis-je passée à côté de quelque chose.
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