Gustave Flaubert se révèle bien être fou, mais un fou lyrique et clairvoyant, dont l'humour ravageur chargé de rancoeur pour cette fatalité qui nous incombe tous ne nous permet pas l'insouciance d'être. Il est l'enchanteur d'un monde perdu dans l'infini, le René mélancolique
De Chateaubriand se mire dans "cette majesté de néant".
A méditer juste pour le plaisir d'être fou.
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