C'est un James Bond diminué par un empoisonnement au fugu que nous retrouvons ici pour éclaircir la disparition mystérieuse du responsable des Services Secrets à la Jamaïque et de sa séduisante secrétaire.
Certes, la trame n'est pas des plus réalistes mais, honnêtement qui lit un roman d'espionnage pour son réalisme? Je trouve que ce James Bond a le charme un peu naïf qu'on trouvait enfant aux histoires de pirates... La mer, le soleil, un mystère... et une très jolie fille. Malgré les nombreuses différences entre le roman et le film comment oublier Ursula Andress en splendide Honeychile Rider? Bref, un roman distrayant qui n'avait, à mon humble avis, pas d'autres ambitions que de faire rêver. Il ne faut pas perdre de vue non plus que le côté macho, un peu raciste, capitaliste du roman provient aussi du fait que comme tout les livres il a été écrit à une certaine époque et qu'il reflète certainement un peu cette époque.
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