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Critique de EosMayonnaise
Attention, coup de coeur!
Quand j'ai vu Titanic, le livre a presque de lui-même sauté dans mes bras. Bon, passé la petite déception du fait que le bateau a fini de couler à la page 55, je me suis vite attachée à ces beaux personnages, à cette belle histoire nouée de coïncidences.
Toute cette petite famille, on la suit sur une période de presque cinquante ans, on les voit grandir, vieillir sous nos yeux, aimer, détester, pleurer, mentir, révéler, tout ça avec pour commencement le naufrage.
Combats de femmes indépendantes, puis une plongée au coeur des deux guerres mondiales, ces pertes inutiles, aucune famille épargnée.
Bizarrement, je n'ai jamais trop rien à dire sur les livres que j'ai le plus aimés. Il faut juste les savourer.
J'ai toujours cette petite appréhension quand j'ouvre un livre qui contient beaucoup de pages (616 pour celui-ci), mais là, c'était presque trop court. On s'assoit au coin du feu, on ouvre ce livre, et sans s'en rendre compte, quand on émerge, on vient de dévorer 150 pages.
Un vrai bonheur, tout simplement, l'auteure a fait d'énormes recherches pour que toute son histoire paraisse la plus vraisemblable possible, et c'est vraiment à saluer.
Adorer un livre, j'aime, mais en même temps, celui qui passe après, si bon soit-il, paraît toujours fade. Dommage pour lui.
Quand j'ai vu Titanic, le livre a presque de lui-même sauté dans mes bras. Bon, passé la petite déception du fait que le bateau a fini de couler à la page 55, je me suis vite attachée à ces beaux personnages, à cette belle histoire nouée de coïncidences.
Toute cette petite famille, on la suit sur une période de presque cinquante ans, on les voit grandir, vieillir sous nos yeux, aimer, détester, pleurer, mentir, révéler, tout ça avec pour commencement le naufrage.
Combats de femmes indépendantes, puis une plongée au coeur des deux guerres mondiales, ces pertes inutiles, aucune famille épargnée.
Bizarrement, je n'ai jamais trop rien à dire sur les livres que j'ai le plus aimés. Il faut juste les savourer.
J'ai toujours cette petite appréhension quand j'ouvre un livre qui contient beaucoup de pages (616 pour celui-ci), mais là, c'était presque trop court. On s'assoit au coin du feu, on ouvre ce livre, et sans s'en rendre compte, quand on émerge, on vient de dévorer 150 pages.
Un vrai bonheur, tout simplement, l'auteure a fait d'énormes recherches pour que toute son histoire paraisse la plus vraisemblable possible, et c'est vraiment à saluer.
Adorer un livre, j'aime, mais en même temps, celui qui passe après, si bon soit-il, paraît toujours fade. Dommage pour lui.
