Il y a aussi le grand oublié des douleurs de l’accouchement : l’homme. Alors rappelons le commentaire de Pierre Desproges : « L’accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l’homme. Ainsi, il souffre moins.
Le paradoxe du destin féminin tient à cette difficulté de se dégager d’un objet primaire maternel, du fait d’une identification souhaitable et d’une nécessité, tout aussi souhaitable, de s’en désidentifier.