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Critique de iris29
Lorsqu'on commence le tome 9 d'une série, c'est comme si on enfilait des pantoufles : aucun effort à faire ! Et des fois, ça fait du bien de se retrouver en territoire connu ( le décor, les personnages, les défauts, les qualités de la série... ). Aussi, je me répéte sur ce que j'aime et n'aime pas dans cette histoire, de tome en tome, je dois être maso, ou très flemmarde !
L' histoire est un peu toujours la même : Hannah qui tient un salon de thé dans lequel on sert des litres de café et des cookies sous toutes leurs formes, tombe sur un cadavre , décide d'enquêter , malgré le peu de temps dont elle dispose, aidée par toutes les bonnes âmes de la ville, à commencer par sa soeur, agent immobilier, son petit-ami, dentiste, afin d'aider la police locale (nullissime), dirigée par son beau-frère et par son autre petit-ami.
Et c'est là que le bas blesse... depuis 9 tomes, on est dans un triangle amoureux digne des années 50, où à peine un bisou est échangé. Hannah trouvant normal d'hésiter entre les deux hommes tout en reprochant à l'un d'entre eux d'avoir des aventures. Ce tome étant sorti en 2010, il est inconcevable que les rapports amoureux soient décrits ainsi. D'ailleurs, pouquoi en mettre ? Moi, le chat borgne d'Hannah, sa gourmandise et le fait que cette histoire policière grouille de vies croisées, me suffit !
L'autre bémol, c'est les recettes intercalées entre deux indices trouvés... Hannah est sensée être une professionnelle et patissière hors-pair, mais ses recettes donnent plutôt envie de fuir à une française ! (Colorants alimentaires, chamallows écrasés, miettes de gateaux en paquets ajoutés dans ses cookies et soupe toute faite dans les recettes salées, poudre d oignons : au secours !
Sympathique mais un chouïa en dessous, de sa consoeur, la série cosy mystery : Les thés meurtriers d'Oxford.
L' histoire est un peu toujours la même : Hannah qui tient un salon de thé dans lequel on sert des litres de café et des cookies sous toutes leurs formes, tombe sur un cadavre , décide d'enquêter , malgré le peu de temps dont elle dispose, aidée par toutes les bonnes âmes de la ville, à commencer par sa soeur, agent immobilier, son petit-ami, dentiste, afin d'aider la police locale (nullissime), dirigée par son beau-frère et par son autre petit-ami.
Et c'est là que le bas blesse... depuis 9 tomes, on est dans un triangle amoureux digne des années 50, où à peine un bisou est échangé. Hannah trouvant normal d'hésiter entre les deux hommes tout en reprochant à l'un d'entre eux d'avoir des aventures. Ce tome étant sorti en 2010, il est inconcevable que les rapports amoureux soient décrits ainsi. D'ailleurs, pouquoi en mettre ? Moi, le chat borgne d'Hannah, sa gourmandise et le fait que cette histoire policière grouille de vies croisées, me suffit !
L'autre bémol, c'est les recettes intercalées entre deux indices trouvés... Hannah est sensée être une professionnelle et patissière hors-pair, mais ses recettes donnent plutôt envie de fuir à une française ! (Colorants alimentaires, chamallows écrasés, miettes de gateaux en paquets ajoutés dans ses cookies et soupe toute faite dans les recettes salées, poudre d oignons : au secours !
Sympathique mais un chouïa en dessous, de sa consoeur, la série cosy mystery : Les thés meurtriers d'Oxford.
