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Critique de lagier
Intrigué par ce titre et intéressé par cette thématique des numéros deux, je me suis laissé tenté par ce roman.
Mais quelle déception !
Je n'ai jamais eu l'impression de rentrer dans l'histoire... probablement comme le dit @boubou10588 dans sa vidéo, parce que l'histoire est racontée par une sorte de voix off qui nous décrit les scènes sans vraiment nous plonger au coeur des personnages. C'est comme si nous étions spectateurs d'un drame qui se joue devant nous mais que cela ne nous concerne pas du tout. Il y a pourtant un énorme potentiel à raconter ce que c'est que d'être numéro deux : lors d'un casting, dans le sport, en littérature (pourquoi un éditeur accepte de publier "Numéro deux", alors qu'il va refuser probablement d'autres très bons livres d'autrices/auteurs pas encore édités ?).
Mais ce Numéro deux est d'une platitude inconcevable. La faute à cette narration impersonnelle, mais aussi à un style beaucoup trop simplet. de plus, l'auteur nous pose ça et là quelques reflexions d'une simplicité désarmante. Soit cela sert à quelque chose et l'auteur développe, soit ce n'est pas la peine, et il vaut mieux qu'il nous fasse grâce de ceci.
Voilà un livre que je referme avec amertume. Avec l'impression qu'on nous a servi, sous couvert d'un auteur reconnu, un livre écrit à la va-vite. Petit coup médiathique au passage pour vendre : se servir du nom d'Harry Potter pour attirer le client. Mais cela ne suffit pas pour ma part si le contenu est inexistant. Et cela ne sert pas la littérature !
Mais quelle déception !
Je n'ai jamais eu l'impression de rentrer dans l'histoire... probablement comme le dit @boubou10588 dans sa vidéo, parce que l'histoire est racontée par une sorte de voix off qui nous décrit les scènes sans vraiment nous plonger au coeur des personnages. C'est comme si nous étions spectateurs d'un drame qui se joue devant nous mais que cela ne nous concerne pas du tout. Il y a pourtant un énorme potentiel à raconter ce que c'est que d'être numéro deux : lors d'un casting, dans le sport, en littérature (pourquoi un éditeur accepte de publier "Numéro deux", alors qu'il va refuser probablement d'autres très bons livres d'autrices/auteurs pas encore édités ?).
Mais ce Numéro deux est d'une platitude inconcevable. La faute à cette narration impersonnelle, mais aussi à un style beaucoup trop simplet. de plus, l'auteur nous pose ça et là quelques reflexions d'une simplicité désarmante. Soit cela sert à quelque chose et l'auteur développe, soit ce n'est pas la peine, et il vaut mieux qu'il nous fasse grâce de ceci.
Voilà un livre que je referme avec amertume. Avec l'impression qu'on nous a servi, sous couvert d'un auteur reconnu, un livre écrit à la va-vite. Petit coup médiathique au passage pour vendre : se servir du nom d'Harry Potter pour attirer le client. Mais cela ne suffit pas pour ma part si le contenu est inexistant. Et cela ne sert pas la littérature !
