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Critique de airess600
Un loup est un loup de Michel Folco.
Par quelque bout qu'on le prenne , ce roman est une véritable merveille .
L'écriture, un français du 18ème siècle dont je ne sais s'il est très près de la vérité, si c'est une pure fiction voire un mélange des deux. de toute façon, c'est une réussite et la lecture en est jubilatoire.
La géographie. Vu mon intérêt et mes compétences restreintes, je retiendrai qu'on doit être aux alentours de l'Aubrac voire du Rouergue . J'ai retenu surtout la fôret de Saint-Leu, une des refuges de notre héros.
La sylvestridude ( je vais me gêner sur le néologisme) n'est pas mon fort mais, même là, l'auteur m'a embarqué avec ses loups .
Les personnages, croquants y compris, sont bien croqués et je ne dis pas ça pour rien.
L'histoire enfin . se déroule sur quelques périodes assez marquées au milan du 18ème siècle.
Charlie et sa fratrie :
Une naissance de quintuplés tellement fusionnels qu'ils parlent un langage connu d'eux-seuls : le LENOU et leur difficile enfance dans le petit bourg de Racleterre.
Charlie et les loups ( mais pas que ) . Goupil est peut-être malin mais quand même moins que Charlie et je ne dis pas ça pour rien.
Charlie et les Pibrac . Là , c'est juste un indice pour vous inciter à lire un autre formidable livre du même Folco : " Dieu et nous seul pouvons »
Charlie et ses deux nénettes. C'est pour faire mon malin car, en fait Charlie ne craque que pour une Pibrac's daughter.
Désolé, Pas de Charlie et la chocolaterie : Nobod'ys perfect.
Donc, on rajoute une final éblouissant à la boule de suif et je sais ce que je dis . de plus il nous est annoncé une suite que, bien évidemment je vais m'empresser de lire.
C'est un conte cruellement drôle, vif , picaresque, voltairien avec un hommage émouvant et permanent au roman de Renard même si c‘est Ysengrin qui est en vedette côté animal .
Par contre notre Charlie a bien des points communs avec Goupil . J'y rajouterai un petit zeste de Délivrance et de Rambo.
Ah j'oubliais : Charlie zozote , mais je vous déconseille de vous moquer car notre héros n'est pas commode et a un petit côté buté et psychopathe quand on fait du mal aux animaux.
Visiblement, un carreau d'arbalète dans la tripaille est douloureux, tout comme une cheville broyée par une piège à loups.
En conclusion , notre écrivain a été touché par les muses sur ce coup-là. Cette lecture a été un véritable plaisir de bout en bout et je ne suis pas loin de hurler mon plaisir avec sa meute de loups.
Je vais quand même rester prudent car une balle d'argent (il y a une pincée du Pacte des Loups aussi) est vite ramassée et je ne dis pas ça pour rien.
J'arrête là ce panégyrique dithyrambique mais quand on aime … on ne conte pas.
Par quelque bout qu'on le prenne , ce roman est une véritable merveille .
L'écriture, un français du 18ème siècle dont je ne sais s'il est très près de la vérité, si c'est une pure fiction voire un mélange des deux. de toute façon, c'est une réussite et la lecture en est jubilatoire.
La géographie. Vu mon intérêt et mes compétences restreintes, je retiendrai qu'on doit être aux alentours de l'Aubrac voire du Rouergue . J'ai retenu surtout la fôret de Saint-Leu, une des refuges de notre héros.
La sylvestridude ( je vais me gêner sur le néologisme) n'est pas mon fort mais, même là, l'auteur m'a embarqué avec ses loups .
Les personnages, croquants y compris, sont bien croqués et je ne dis pas ça pour rien.
L'histoire enfin . se déroule sur quelques périodes assez marquées au milan du 18ème siècle.
Charlie et sa fratrie :
Une naissance de quintuplés tellement fusionnels qu'ils parlent un langage connu d'eux-seuls : le LENOU et leur difficile enfance dans le petit bourg de Racleterre.
Charlie et les loups ( mais pas que ) . Goupil est peut-être malin mais quand même moins que Charlie et je ne dis pas ça pour rien.
Charlie et les Pibrac . Là , c'est juste un indice pour vous inciter à lire un autre formidable livre du même Folco : " Dieu et nous seul pouvons »
Charlie et ses deux nénettes. C'est pour faire mon malin car, en fait Charlie ne craque que pour une Pibrac's daughter.
Désolé, Pas de Charlie et la chocolaterie : Nobod'ys perfect.
Donc, on rajoute une final éblouissant à la boule de suif et je sais ce que je dis . de plus il nous est annoncé une suite que, bien évidemment je vais m'empresser de lire.
C'est un conte cruellement drôle, vif , picaresque, voltairien avec un hommage émouvant et permanent au roman de Renard même si c‘est Ysengrin qui est en vedette côté animal .
Par contre notre Charlie a bien des points communs avec Goupil . J'y rajouterai un petit zeste de Délivrance et de Rambo.
Ah j'oubliais : Charlie zozote , mais je vous déconseille de vous moquer car notre héros n'est pas commode et a un petit côté buté et psychopathe quand on fait du mal aux animaux.
Visiblement, un carreau d'arbalète dans la tripaille est douloureux, tout comme une cheville broyée par une piège à loups.
En conclusion , notre écrivain a été touché par les muses sur ce coup-là. Cette lecture a été un véritable plaisir de bout en bout et je ne suis pas loin de hurler mon plaisir avec sa meute de loups.
Je vais quand même rester prudent car une balle d'argent (il y a une pincée du Pacte des Loups aussi) est vite ramassée et je ne dis pas ça pour rien.
J'arrête là ce panégyrique dithyrambique mais quand on aime … on ne conte pas.
