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Critique de ladythat


Comme tous les étés, le jeune héros prend le train pour se rendre chez cet oncle loufoque qui vit à la campagne au milieu des champs de maïs. Chaque jour, il enfourche son vélo et part à la découverte de ces paysages infinis, s'éloignant toujours un peu plus jusqu'à ce qu'il arrive à la mer et à Esther Andersen

Esther Andersen a le goût du souvenir et la chaleur de l'été. le texte minimaliste de Timothée de Fombelle suffit à transmettre toute l'émotion d'un instant, la chaleur d'une rencontre et l'intemporalité d'un souvenir de vacances. Sublimé par les aquarelles d'Irène Bonacina, le texte suffit à nous emmener en vacances et à nous remémorer des souvenirs d'été conservés à l'abri de notre mémoire.

Le grand format à l'italienne permet à l'illustratrice de déployer des paysages estivaux lumineux et chaleureux qui, telles des cartes postales, transportent le lecteur en vacances. du paysage qui défile à travers la vitre du train à la baignade en mer en passant par la promenade dans la nature et les repas sur le pouce, on se croirait vraiment revenu dans les vacances d'une époque révolue dans laquelle les plaisirs les plus simples laissaient une emprunte plus forte.

Je crois que finalement c'est sur ce format que je préfère l'écriture de Timothée de Fombelle qui dit tellement avec si peu de mots.
Lien : https://sirthisandladythat.c..
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