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Darwin vit avec sa mère, chauffeur de taxi la nuit, et ne connaît pas son père. Ils habitent un appartement donnant sur un mur gris, dans un quartier chamboulé par les destructions d'immeubles, les expulsions et les reconstructions pour une population plus aisée. Passionné de cuisine, il se plaît aussi à filmer ce et ceux qui l'entoure, grâce à la caméra offerte par un bon ami de sa mère. Il va tomber amoureux de nouvelle camarade, Eva, une « martienne » qui passe son temps à dessiner et vit seule dans un château d'eau désaffecté. Un jour en se levant il voit qu'une fresque à la Banksy recouvre le mur gris en face de chez lui, il s'intéresse alors à l'artiste et le fait connaître à Eva. Ensemble ils vont eux aussi créer des pochoirs, représentant un rat, pour s'élever contre les expulsions et les destructions d'immeubles.
Le roman a le mérite de faire connaître Banksy, même si il est souvent un peu didactique (expulsions, pression foncière, camps de roms, récupération, « guerilla gardening », clandestins, etc) et plein de bons sentiments. Il reste malgré tout bien écrit. le récit et les personnages sont sympathiques. Il est presque dommage que ce soit un peu rapide et pas plus poussé.
Critique de Nikouette
Darwin vit avec sa mère, chauffeur de taxi la nuit, et ne connaît pas son père. Ils habitent un appartement donnant sur un mur gris, dans un quartier chamboulé par les destructions d'immeubles, les expulsions et les reconstructions pour une population plus aisée. Passionné de cuisine, il se plaît aussi à filmer ce et ceux qui l'entoure, grâce à la caméra offerte par un bon ami de sa mère. Il va tomber amoureux de nouvelle camarade, Eva, une « martienne » qui passe son temps à dessiner et vit seule dans un château d'eau désaffecté. Un jour en se levant il voit qu'une fresque à la Banksy recouvre le mur gris en face de chez lui, il s'intéresse alors à l'artiste et le fait connaître à Eva. Ensemble ils vont eux aussi créer des pochoirs, représentant un rat, pour s'élever contre les expulsions et les destructions d'immeubles.
Le roman a le mérite de faire connaître Banksy, même si il est souvent un peu didactique (expulsions, pression foncière, camps de roms, récupération, « guerilla gardening », clandestins, etc) et plein de bons sentiments. Il reste malgré tout bien écrit. le récit et les personnages sont sympathiques. Il est presque dommage que ce soit un peu rapide et pas plus poussé.
