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Critique de Leshayah
Lu pour la même raison que "Je suis là", ce roman m'a encore plus émue. J'ai pleuré presque pendant toute ma lecture.
J'ai aimé le récit d'un quotidien simple avec les gens qu'on aime (le bonheur raconté en somme).
J'ai aimé le grand-père de Mia, son amie Kim et leurs discours à Mia.
J'ai aimé l'importance accordée au violoncelle, magnifique instrument, dont on n'entend pas assez souvent parler.
J'ai aimé la façon dont Mia fait son choix tout au long du roman.
J'ai aimé l'hommage aux chirurgiens et infirmières.
J'ai aimé que ce roman soit court également : pas le temps de commencer à tourner en rond, de tomber dans le pathos et les phrases convenues, pas le temps non plus de perdre en crédibilité.
J'ajouterai pour finir que le film tiré du roman lui est très fidèle. L'atmosphère et les couleurs qui s'en dégagent collent au livre et dans le film, nous avons l'avantage de voir et d'entendre le violoncelle.
J'ai aimé le récit d'un quotidien simple avec les gens qu'on aime (le bonheur raconté en somme).
J'ai aimé le grand-père de Mia, son amie Kim et leurs discours à Mia.
J'ai aimé l'importance accordée au violoncelle, magnifique instrument, dont on n'entend pas assez souvent parler.
J'ai aimé la façon dont Mia fait son choix tout au long du roman.
J'ai aimé l'hommage aux chirurgiens et infirmières.
J'ai aimé que ce roman soit court également : pas le temps de commencer à tourner en rond, de tomber dans le pathos et les phrases convenues, pas le temps non plus de perdre en crédibilité.
J'ajouterai pour finir que le film tiré du roman lui est très fidèle. L'atmosphère et les couleurs qui s'en dégagent collent au livre et dans le film, nous avons l'avantage de voir et d'entendre le violoncelle.
