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Critique de loreleirocks
J'aurais aimé vous parler des deux chiennes labradors du héros, mais ma critique aurait manqué de substance. Dommage, ça aurait évité que je m'étende sur les principales lignes de cette romance et donc les principaux clichés du genre des thriller romantique. Et bien allons-y.
Il est grand, beau et fort, surtout fort, et aussi solitaire et généreux, et il met ses talents paramilitaires au service du bien. Et bien sûr, il est mystérieux. Et il a un nom qui tue : Dare. le nom lourd a porter, surtout si tu es timide ou facile provoquer... d'où le jeu de mot du titre original en anglais, When You Dare. Hahaha! Hum.
Elle, par contre, son nom est tout à fait banal, vieillot, presque décalé face à Musclor, puisqu'elle s'appelle comme la matriarche Weasley, Molly. Et donc, l'auteur tente de nous faire croire qu'elle est d'apparence banale, un peu bizarre, mais super courageuse. On saura, une fois en petite tenue, que Molly est un canon, mais aussi qu'elle est perspicace et talentueuse. Et oui, Molly est auteure de thrillers romantiques.
Je ne vais pas beaucoup plus m'étendre : Dare récupère Molly en même temps que la soeur de son pote, après un enlèvement ayant pout but des les vendre. Logique. Molly n'a pas été capturée à ces fins, pensez-vous, elle est trop vieille, trop banale etc. du coup, après un coup de foudre de circonstance, Dare va se lancer dans la découverte des commanditaires de son enlèvement.
S'ensuivent filatures, cache-cache, froissages de draps et débordements de bains, avant de confronter un coupable parfaitement nounouille et un peu tiré par les cheveux, qu'on ne devine vraiment qu'à sa rencontre, dans le dernier quart du livre.
Les plus ? Pas de mauvais sexe à tous les coins de chapitre. Pas de syntaxe et d'orthographe douteuse, ce qui donne un peu plus de sérieux à l'auteure. Une écriture fluide sans trop de cucugneries guimauveuses. Pas d'attardement sur le passé malheureux et autres historiques sur-détaillés et inutiles, qui semblent être passages obligés dans trop de romances légères.
Je doute attraper les suites dans cette série, Men on the Edge of je-sais-plus-trop-quoi, car il y a une absence totalr d'humour et de hockey sur glace, à ma grande déception, mais ce tome est bien tout seul pour faire un break de lectures plus compliquées ou tout simplement si vous êtes friands de thrillers romantiques.
Il est grand, beau et fort, surtout fort, et aussi solitaire et généreux, et il met ses talents paramilitaires au service du bien. Et bien sûr, il est mystérieux. Et il a un nom qui tue : Dare. le nom lourd a porter, surtout si tu es timide ou facile provoquer... d'où le jeu de mot du titre original en anglais, When You Dare. Hahaha! Hum.
Elle, par contre, son nom est tout à fait banal, vieillot, presque décalé face à Musclor, puisqu'elle s'appelle comme la matriarche Weasley, Molly. Et donc, l'auteur tente de nous faire croire qu'elle est d'apparence banale, un peu bizarre, mais super courageuse. On saura, une fois en petite tenue, que Molly est un canon, mais aussi qu'elle est perspicace et talentueuse. Et oui, Molly est auteure de thrillers romantiques.
Je ne vais pas beaucoup plus m'étendre : Dare récupère Molly en même temps que la soeur de son pote, après un enlèvement ayant pout but des les vendre. Logique. Molly n'a pas été capturée à ces fins, pensez-vous, elle est trop vieille, trop banale etc. du coup, après un coup de foudre de circonstance, Dare va se lancer dans la découverte des commanditaires de son enlèvement.
S'ensuivent filatures, cache-cache, froissages de draps et débordements de bains, avant de confronter un coupable parfaitement nounouille et un peu tiré par les cheveux, qu'on ne devine vraiment qu'à sa rencontre, dans le dernier quart du livre.
Les plus ? Pas de mauvais sexe à tous les coins de chapitre. Pas de syntaxe et d'orthographe douteuse, ce qui donne un peu plus de sérieux à l'auteure. Une écriture fluide sans trop de cucugneries guimauveuses. Pas d'attardement sur le passé malheureux et autres historiques sur-détaillés et inutiles, qui semblent être passages obligés dans trop de romances légères.
Je doute attraper les suites dans cette série, Men on the Edge of je-sais-plus-trop-quoi, car il y a une absence totalr d'humour et de hockey sur glace, à ma grande déception, mais ce tome est bien tout seul pour faire un break de lectures plus compliquées ou tout simplement si vous êtes friands de thrillers romantiques.
