# La mère coupable

« Il me le faut ABSOOOOOLUMENT ! » C'est à peu près ce que je me suis dit en découvrant des extraits de @lamerecoupable sur #instagram il y a quelques semaines. Non, parce que, si j'aime particulièrement les livres avec du vitriol à la place de l'encre, je ne suis pas contre un peu de légèreté de temps en temps, n'est-ce pas ? Une petite bulle d'air entre deux #lectures éprouvantes, c'est toujours sympathique. Alors une #maman décomplexée à la Bridget Jones qui écrit haut et fort ce que la plupart vivent tout bas, qui plus est avec une jolie plume, forcément, ça me parle.

Choix ô combien judicieux puisque ce #livre m'a fait sourire à peu près à chaque page ☉. Peut-être parce que toute l'énergie du jaune-citron-pressé de la couverture se retrouve à l'intérieur… Et que chaque scène de vie nous renvoie à la nôtre presque sans miroir déformant. Les repas, les courses, les trajets en voiture, les réveils la nuit, les mamies-aux-regards-de-tueuses des supermarchés, les kilos en trop, les histoires du soir, le ménage et même Bonnie Tyler, Flashdance et La Boum, tout y passe.
C'est drôle, amusant, même émouvant - eh oui, croyez-le ou non, mais j'ai versé ma petite larmichette sur la fin, oui, oui - pas original pour un sou, certes, mais finalement, ce n'est pas spécialement ce l'on attend d'un livre-détente-décompression.

Du coup, ce #bouquin de la Mère Coupable, c'est un peu comme une fraise Tagada Pink, vous savez, les roses qui pétillent sur la langue. A la fois sucrée et acidulée, qui pique un peu mais c'est justement pour ça qu'on l'adore. Et j'en profite pour applaudir Caroline Froment des deux mains pour avoir réussi l'exploit de nous divertir avec du quotidien… Et je vous quitte avec un extrait qui m'a fait mourir de rire : « Tends une main à l'enfant, et tu finiras manchot. » Je vous laisse, je dois préparer le goûter. Bisous ❤