Fournier, pareil à lui même, soliloque sur sa vie, ici celle d'un homme terriblement seul. Cet état lui pèse, bien qu'il reconnaisse l'avoir souvent provoqué. Sa vie d'homme est une succession de choix personnels , sans doute
trop personnels pour se retrouver ainsi à la fin de sa vie sans plus personne pour penser à lui.
Malgré la dérision de Fournier, c'est un récit plutôt triste. À lire lorsque le soleil brille sous peine de grosse déprime.
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