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Critique de umezzu
Eric Giacometti était attendu au tournant en succédant à Van Hamme. le premier épisode de ce diptyque, l'Étoile du matin, était digne de van Hamme : un peu d'économie expliquée à propos du Trading Haute Fréquence, un thème dans l'esprit du temps (la taxation des milliardaires), pas mal d'action et quelques méchants bien retords qui en veulent encore et toujours aux parts au porteur de la Zukunf Anstall, cette structure du Liechtenstein qui contrôle le groupe W. A la fin de ce premier album, Largo était au plus mal, coincé avec la tradeuse Mary Stricker dans son propre centre financier, alors qu'un commando avait réussi à mettre la main sur les fameux titres de propriété.
La suite ne déçoit pas. Les oligarques russes continuent de mener la partie : un bon et un méchant, ou peut être est-ce l'inverse ? A Largo de le déterminer et pour se faire il devra aller se jeter dans la gueule du loup à Saint-Pétersbourg.
L'action est bien rythmée. La résolution des problèmes tient une nouvelle fois du miracle. le lecteur en prend plein les yeux (merci Francq), les décors sont magnifiques et l'action est quasiment ininterrompue. Que demander de plus ?
La suite ne déçoit pas. Les oligarques russes continuent de mener la partie : un bon et un méchant, ou peut être est-ce l'inverse ? A Largo de le déterminer et pour se faire il devra aller se jeter dans la gueule du loup à Saint-Pétersbourg.
L'action est bien rythmée. La résolution des problèmes tient une nouvelle fois du miracle. le lecteur en prend plein les yeux (merci Francq), les décors sont magnifiques et l'action est quasiment ininterrompue. Que demander de plus ?
