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Critique de Lousine


Le roi Arthur, protagoniste d'un polar historique

En 1154, le lendemain de la Sainte Etienne, un tremblement de terre a lieu dans le Somerset, plus précisément à Glastonbury (dans les marais d'Avalon, célèbre île où, selon la légende, le roi Arthur serait allé soigner ses blessures). Les moines de l'abbaye se sont réfugiés dans la chapelle Saint Michel au sommet du Tor, un des monts entourant Glastonbury.
Frère Caradoc entend Saint Dustan lui demander de sauver le livre de Glastonbury, la relique de l'abbaye. Caradoc tente de le sauver mais n'y parvient pas. Pendant cette tentative, il est témoin de l'inhumation d'un cercueil qu'il prend pour celui d'Arthur et de Guenièvre dans une faille ouverte puis refermée par le séisme. Avant de mourir, il confie ce qu'il a vu à son neveu, Rhys.
Puis nous arrivons en 1176, année pendant laquelle Henri II mate une révolte galloise menée par ceux croyant le roi Arthur immortel. Rawley, évêque de Saint-Albans, amène une femme voulant récupérer son fils - Ryhs- contre des informations sur Arthur et sa tombe.
Rhys fournit les informations apprises par son oncle et Henri demande l'aide d'Adelia Aguilar, enquêtrice de la mort et médecin diplômé de l'école de Salerne, afin d'authentifier le cadavre. Etant une femme, Adelia fait croire que c'est son assistant maure qui est médecin et non elle.
Adelia s'enfuit avec ses proches (Mansur son assistant, sa fille illégitime Allie et Gyltha, la nourrice de celle-ci) et Emma, dame de Wolvercote.
Cette dernière doit aller récupérer son domaine et Adelia est contrainte d'aider le roi. Les deux femmes se séparent donc et là commencent vraiment les péripéties que l'héroïne, Adelia, doit affronter pour mener à bien sa mission.
Suspens et action sont au rendez-vous dans ce livre que je conseille vivement à ceux qui aiment les polars historiques.
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