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Critique de belette2911
Écroulée de rire... le gag avec les crêpes est hilarant. Raoul Cauvin rigole moins que moi en découvrant la fameuse face cachée de la lune...
Quand Lagaffe prépare un appétissant soufflé pour son déprimé copain Bertrand Labévue et que le soufflé retombe, on hurle de rire.
Les dessins sont au top, soignés, détaillés. Chez Franquin, il ne faut pas se contenter de lire les phylactères, il faut aussi analyser les dessins, les petits détails, tout !
Franquin était un maniaque et il pouvait redessiner plusieurs fois la même chose sans jamais en être satisfait. Des dessinateurs ont vu valser à la poubelle des chefs-d'oeuvre. J'aurais aimé faire ses poubelles...
Franquin renouvelle également le gag de l'essuie-mains.
Et puis, rien que pour la fameuse dernière case du gag n°739, p.27, cet album se révèle indispensable car il s'agit ni plus ni moins, du meilleur dessin de toute la carrière de Franquin, non seulement pour sa qualité graphique pure mais aussi pour sa puissance d'évocation et sa poésie.
Pour ceux qui ne voient pas, je signale que c'est celui où Prunelle et les autres entrent dans le bureau de Lagaffe, se faufilent sous toutes la paperasse et le retrouve endormi dans une espèce de caverne qu'il a réalisé avec des piles de livres ou de courrier.
On voudrait être à sa place tant l'instant est rempli de solennité et de plénitude.
Franquin, c'était un grand !
Quand Lagaffe prépare un appétissant soufflé pour son déprimé copain Bertrand Labévue et que le soufflé retombe, on hurle de rire.
Les dessins sont au top, soignés, détaillés. Chez Franquin, il ne faut pas se contenter de lire les phylactères, il faut aussi analyser les dessins, les petits détails, tout !
Franquin était un maniaque et il pouvait redessiner plusieurs fois la même chose sans jamais en être satisfait. Des dessinateurs ont vu valser à la poubelle des chefs-d'oeuvre. J'aurais aimé faire ses poubelles...
Franquin renouvelle également le gag de l'essuie-mains.
Et puis, rien que pour la fameuse dernière case du gag n°739, p.27, cet album se révèle indispensable car il s'agit ni plus ni moins, du meilleur dessin de toute la carrière de Franquin, non seulement pour sa qualité graphique pure mais aussi pour sa puissance d'évocation et sa poésie.
Pour ceux qui ne voient pas, je signale que c'est celui où Prunelle et les autres entrent dans le bureau de Lagaffe, se faufilent sous toutes la paperasse et le retrouve endormi dans une espèce de caverne qu'il a réalisé avec des piles de livres ou de courrier.
On voudrait être à sa place tant l'instant est rempli de solennité et de plénitude.
Franquin, c'était un grand !
