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Critique de dourvach
Ah... Fantasio et son fameux cousin Zantafio (rival)... Quel régal !!! C'est que je n' trouve pas du tout ce chef d'oeuvre "gentiment désuet", moâ... D'ailleurs, notre cher camarade babéliote Austral nous a offert ci-dessous un génial extrait du légendaire "Spirou et les héritiers" d'André Franquin [1951] :
‒ Oh ! Prenez garde ! Vous projetez de l'huile sur le veston de Maître Mordicus !...
‒ Mais pas du tout !
‒ Si ! Parfaitement, regardez !
‒ ça ?! Mais c'est du jaune d'oeuf !!
C'est que ce brave notaire de Mordicus ‒ souffrant de la goutte, tout comme le personnage barbichu joué par le géant Eric Campbell dans cet hilarant moyen-métrage de Charlie CHAPLIN ["The Cure"] ‒ n'a point fini de souffrir de cet environnement-à-hauts-risques (pour lui) : un bon coup de canne dans son panard endolori... et un p'tit "Sch-gling-gling" en passant, de l'énorme pale du "fantacoptère" au pôvre lustre à facettes notarial ("où il [ne] pleut [pas encore] des orangeades").
C'est qu'entre notaires, Spirou, Fanta et Zanta... et la cousine Machin, et sa môman-à-vison, certes "on passe le temps"... et il s'en passe sans arrêt, des choses... et des plus marrantes !!!
Un chef d'oeuvre de poésie intacte, que le Temps n'altérera jamais... Tellement plein de fraîcheur !
Que viva Andréo Franquino !!! :-)
Lien : http://dourvach.canalblog.com/
‒ Oh ! Prenez garde ! Vous projetez de l'huile sur le veston de Maître Mordicus !...
‒ Mais pas du tout !
‒ Si ! Parfaitement, regardez !
‒ ça ?! Mais c'est du jaune d'oeuf !!
C'est que ce brave notaire de Mordicus ‒ souffrant de la goutte, tout comme le personnage barbichu joué par le géant Eric Campbell dans cet hilarant moyen-métrage de Charlie CHAPLIN ["The Cure"] ‒ n'a point fini de souffrir de cet environnement-à-hauts-risques (pour lui) : un bon coup de canne dans son panard endolori... et un p'tit "Sch-gling-gling" en passant, de l'énorme pale du "fantacoptère" au pôvre lustre à facettes notarial ("où il [ne] pleut [pas encore] des orangeades").
C'est qu'entre notaires, Spirou, Fanta et Zanta... et la cousine Machin, et sa môman-à-vison, certes "on passe le temps"... et il s'en passe sans arrêt, des choses... et des plus marrantes !!!
Un chef d'oeuvre de poésie intacte, que le Temps n'altérera jamais... Tellement plein de fraîcheur !
Que viva Andréo Franquino !!! :-)
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