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Critique de Livrespourvous
Ce roman raconte la rencontre de deux mondes : les Etats-Unis et la Chine. C'est l'histoire en parallèle d'un dissident chinois et d'une mère de famille américaine au bord du divorce.
Le roman est ample et s'apprécie lentement. Certes, il y a des scories et on sent que l'auteure Nell Freudenberger a du suivre des ateliers d'écriture, car elle délaye trop et trop de détails amoindrissent le rythme.
Hormis ce bémol, c'est un plaisir de découvrir les méandres intellectuels de Yuan Zhao, ses expériences artistiques à Pékin, puis son aventure californienne.
Il est hébergé par Cece et Gordon Travers. La première veut se séparer du second mais s'oblige à rester à cause de ses enfants, Max et Sylvia.
Le second, un psy qui ne fréquente que lui-même, est obsédé par la généalogie. Vient se greffer dessus, Phil, le frère de Gordon et l'amoureux transi de Cece, qui refuse de grandir.
Le dissident chinois Yuan Zhao recherche une liberté, une vie meilleure, espérant fortement la dégoter aux abords de l'eldorado américain, alors que comme d'habitude, elle est toute proche.
Freudenberger se moque des deux cultures chinoise et américaine avec jubilation et cette satire est vraiment plaisante.
Lien : http://livrespourvous.center..
Le roman est ample et s'apprécie lentement. Certes, il y a des scories et on sent que l'auteure Nell Freudenberger a du suivre des ateliers d'écriture, car elle délaye trop et trop de détails amoindrissent le rythme.
Hormis ce bémol, c'est un plaisir de découvrir les méandres intellectuels de Yuan Zhao, ses expériences artistiques à Pékin, puis son aventure californienne.
Il est hébergé par Cece et Gordon Travers. La première veut se séparer du second mais s'oblige à rester à cause de ses enfants, Max et Sylvia.
Le second, un psy qui ne fréquente que lui-même, est obsédé par la généalogie. Vient se greffer dessus, Phil, le frère de Gordon et l'amoureux transi de Cece, qui refuse de grandir.
Le dissident chinois Yuan Zhao recherche une liberté, une vie meilleure, espérant fortement la dégoter aux abords de l'eldorado américain, alors que comme d'habitude, elle est toute proche.
Freudenberger se moque des deux cultures chinoise et américaine avec jubilation et cette satire est vraiment plaisante.
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