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Critique de Noctenbule
Nous avons du lire quelques livres considérées comme classiques lorsque nous étions à l'école. Mais y a t'il beaucoup de gens qui ont poursuivi leur initiation sans en être trop dégouté? Quelques téméraires restent passionnés par la lecture qu'importe s'ils sont ou non considérés comme classique. Alors comment briller en société quand quelqu'un évoque un roman en particulier? Pascale Frey a la solution idéale pour vous.
Vous êtes intrigués maintenant? Aidée de Soledad Bravi au dessin, le duo de choc met en bd une quinzaine de classiques. Vous aurez le droit au début à une courte présentation du roman et de son contexte d'écriture puis une mini-bio de l'auteur avant de passer à l'histoire en quelques pages. Ne croyez pas qu'il s'agit d'une adaptation très sérieuse et ennuyeuse. On pourrait le craindre quand on entend parler de "Phèdre", "Le Rouge et le Noir" ou "Lolita".
C'était sans compter sur le sens de la dérision et de l'humour des deux compères. Là où vous pouvez voir de l'aventure, du périple, des tensions, elles voient une histoire simple qui peut se résumer en quelques cases. le côté drôle apparaît dans le décalage entre le récit initial et sa libre interprétation. Tout est aplani et rien n'est plus important qu'autre chose. Une façon originale de faire descendre de son piédestal ces livres. Ils deviennent des histoires banales, parfois sans intérêt. Cette façon de raconter fait mouche car les deux artistes publient leur deuxième tome, par chance les classiques ne manquent pas.
Lien : http://22h05ruedesdames.com/..
Vous êtes intrigués maintenant? Aidée de Soledad Bravi au dessin, le duo de choc met en bd une quinzaine de classiques. Vous aurez le droit au début à une courte présentation du roman et de son contexte d'écriture puis une mini-bio de l'auteur avant de passer à l'histoire en quelques pages. Ne croyez pas qu'il s'agit d'une adaptation très sérieuse et ennuyeuse. On pourrait le craindre quand on entend parler de "Phèdre", "Le Rouge et le Noir" ou "Lolita".
C'était sans compter sur le sens de la dérision et de l'humour des deux compères. Là où vous pouvez voir de l'aventure, du périple, des tensions, elles voient une histoire simple qui peut se résumer en quelques cases. le côté drôle apparaît dans le décalage entre le récit initial et sa libre interprétation. Tout est aplani et rien n'est plus important qu'autre chose. Une façon originale de faire descendre de son piédestal ces livres. Ils deviennent des histoires banales, parfois sans intérêt. Cette façon de raconter fait mouche car les deux artistes publient leur deuxième tome, par chance les classiques ne manquent pas.
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