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Critique de Alfaric


Ce tome 5 met toujours le Directeur Adjoint Hirosho Uchiyamada à l'honneur, et en vacances à Hokkaido il continue de jouer au justicier pour sauver une jeune fille d'un chanteur pervers, d'un agent yakuza, des voyous qu'ils ont embauchés de se débarrasser d'eux, et bien sûr des ours sauvages qui pullulent dans les région du septentrion... Quand tout semble perdu, Onizuka arrive à la rescousse : c'est l'heure du German Souplex ! Tout est bien qui finit bien, et pour une fois c'est le petit chauve qui est le héros et non le grand chevelu ^^
Dans la Prison Wangan le prisonnier n°20 continue ses récits de sa vie d'enseignant : après sa croisade contre le show business, il s'attaque au douloureux problème des dérives sectaires (véritable fléau d'hier et d'aujourd'hui)... Ririka Nishiwaki la petite-fille de la Directrice s'est enfuie de l'hôpital psychiatrique, et elle s'empresse de rejoindre les arnaqueurs new age qu'elle considère comme sa vraie famille et qui la considèrent elle comme un porte-monnaie sur pattes... To Be Continued ?

Entre arrière-plans photo-travaillés et charadesign sympathique mais clonesque, entre grosses poitrines et petites-culottes, c'est un peu toujours la même chose, mais derrière la déconne le mangaka met le doigt où cela fait mal pour l'autoproclamée bonne société / haute société japonaise ! Nous sommes peu ou prou en face d'un manga social qui joue la carte de l'humour ^^
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