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Critique de Alfaric


Dans ce tome 8 Kagetora Tendô intègre l'équipe pédagogique du Lycée Kisshô, et on oppose immédiatement la méthode du « marche ou crève » à celui du « qui peut le moins peut le plus » (qui sont évidents aux antipodes tant dans les résultats que dans le traitement humain)... On nous racontant l'histoire d'Onizuka ado, car il se croyait son rival attitré, Kagetora nous raconte sa propre histoire et nous entrons une nouvelle fois dans le manga social ! Dans le très élitiste Japon moderne, il n'était pas assez bon pour devenir basketteur professionnel, et son échec l'a fait virer racaille et commettre divers conneries et délits... Après une longue période de dépression il s'est repris et a repris goût à la vie en devenant professeur de maths et entraîneur de basket, mais il est rattrapé par ses conneries d'adolescents et vire yakuza après son licenciement (dans les deux cas à cause de son fameux tatouage du « Tigre de l'Ombre »).
Ce tome est ensuite une succession de défis tous plus loufoques les uns que les autres visant à déterminer qui est le plus fort d'Onizuka et de Kagetora : énigmes ubuesques fomentées par les élèves, concours de jeux de cafés, concours de jeux vidéos... Entre le surhomme puceau et le surdoué boloss mais qui arrive toujours à pécho l'affrontement est très drôle ! Kagetora se fait une fois de plus rattraper par son « Tigre de l'Ombre », mais Onizuka qui croit en lui et en sa belle énergie lui file un tuyau pour échapper aux foudres des terribles parentes d'élèves ! (parce qu'au Japon beaucoup de femmes arrêtent de travailler après avoir enfanté, donc emmerder tout le monde au sein du monde associatif c'est un moyen privilégié de se venger de la société)
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