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Critique de ChristianLV
Bonjour,
Après avoir lu son ouvrage LE MYSTERE DE LA PATIENCE, séduit par le style de Jostein GAARDER qui m'avait touché dans cet autre ouvrage, j'ai lu LE MONDE DE SOPHIE.
Cependant, je dois dire que je n'ai pas trouvé mon compte de la même manière dans cet ouvrage. Ce n'est pas une affaire de style ou de qualité littéraire qui sont ici au rendez-vous comme dans son autre ouvrage. Non, c'est une affaire de contenu dont les effets sur chacun ne sont pas les mêmes.
Dans le mystère de la patience, Gaarder nous conduit dans un voyage sur un itinéraire de réparation des blessures intérieures. La portée de cet ouvrage est vraiment universelle. Tandis que dans celui-ci, Gaarder utilise le monde de Sophie pour enseigner. Or je ne suis pas mobilisé par une soif de savoir. L'émerveillement du philosophe est une qualité spécifique fascinante de Gaarder, mais elle n'est pas mienne. Ainsi donc, de mon point de vue, l'enseignement qu'il transmet finit par encombrer le monde de Sophie. Il faut une tête bien rangée et bien vaste pour accueillir toute cette pensée ou bien en phase de construction afin qu'on y aménage les pièces pour accueillir cette pensée, bref une tête de jeune lycéen(ne) ou étudiant(e) que je ne suis plus.
Cependant j'avoue que je suis très sensible à la délicatesse de ce monde intérieur.
Après avoir lu son ouvrage LE MYSTERE DE LA PATIENCE, séduit par le style de Jostein GAARDER qui m'avait touché dans cet autre ouvrage, j'ai lu LE MONDE DE SOPHIE.
Cependant, je dois dire que je n'ai pas trouvé mon compte de la même manière dans cet ouvrage. Ce n'est pas une affaire de style ou de qualité littéraire qui sont ici au rendez-vous comme dans son autre ouvrage. Non, c'est une affaire de contenu dont les effets sur chacun ne sont pas les mêmes.
Dans le mystère de la patience, Gaarder nous conduit dans un voyage sur un itinéraire de réparation des blessures intérieures. La portée de cet ouvrage est vraiment universelle. Tandis que dans celui-ci, Gaarder utilise le monde de Sophie pour enseigner. Or je ne suis pas mobilisé par une soif de savoir. L'émerveillement du philosophe est une qualité spécifique fascinante de Gaarder, mais elle n'est pas mienne. Ainsi donc, de mon point de vue, l'enseignement qu'il transmet finit par encombrer le monde de Sophie. Il faut une tête bien rangée et bien vaste pour accueillir toute cette pensée ou bien en phase de construction afin qu'on y aménage les pièces pour accueillir cette pensée, bref une tête de jeune lycéen(ne) ou étudiant(e) que je ne suis plus.
Cependant j'avoue que je suis très sensible à la délicatesse de ce monde intérieur.
