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Le monde de Sophie de Jostein Gaarder
Ne pas savoir est généralement une étape sur la voie de la connaissance.
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DÉROULE ET MET LA HD ! (j'ai les yeux plus verts :3) ----------------------------------------------------------------------------------------- Livres mentionnés : - Norwegian Folk Tales (Peter Asbjørnsen & Jørgen Moe) - Une maison de poupée (Henrik Ibsen) - le mystère de la patience (Jostein Gaarder) - le monde de Sophie (Jostein Gaarder) - La terre des mensonges (Anne B. Ragde) Ma vidéo sur Jostein Gaarder : https://youtu.be/w2NaoVC-TtI Où me trouver : ? Facebook : https://www.facebook.com/TetedeLitote ? Instagram : http://instagram.com/cyri.f ? Livraddict : http://www.livraddict.com/profil/tetedelitote/ ? Goodreads : https://www.goodreads.com/CyriF ? Mail : blogtetedelitote@gmail.com ? Blog : http://tetedelitote.canalblog.com Intro : John Williams - Star Wars Theme
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Le monde de Sophie de Jostein Gaarder
Ne pas savoir est généralement une étape sur la voie de la connaissance.
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Le monde de Sophie de Jostein Gaarder
Ce sont toujours ceux qui posent des questions qui sont les plus dangereux. Répondre, ce n'est pas si compromettant. Une seule question peut être plus explosive que mille réponses.
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N'était-ce pas triste de constater que la plupart des gens devaient tomber malades pour savoir apprécier la vie ?...
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Mais c'est à nous de donner du sens à notre propre vie. Exister, c'est créer sa propre existence.
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La seule qualité requise pour devenir un bon philosophe est de s'étonner.
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- ... Le petit enfant n'éprouve aucun plaisir à voir les lois de la nature transgressées, car il ne les connait pas encore. L'enfant n'est pas encore devenu l'esclave des attentes dues à l'habitude. L'enfant est sans préjugés, qualité première d'un grand philosophe. Il perçoit le monde tel qu'il est sans idées à priori qui faussent notre vision d'adultes.
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Tu vois, la grande différence entre un professeur d'école et un vrai philosophe, c'est que le professeur croit connaître un tas de choses qu'il n'arrête pas de vouloir faire apprendre de force à ses élèves, alors qu'un philosophe essaie de trouver des réponses aux questions qu'il se pose avec ses élèves.
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Le monde entier est une scène. Hommes et femmes, tous, n'y sont que des acteurs, Chacun fait ses entrées, chacun fait ses sorties, Et notre vie durant, nous jouons plusieurs rôles. As You like it (Shakespeare) |
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Le monde de Sophie de Jostein Gaarder
On raconte que Socrate s'arrêta un jour devant un jour devant une échoppe qui proposait différentes marchandises. A la fin, il s'écria : "Que de choses dont je n'ai pas besoin!" Cette déclaration pourrait être le mot d'ordre des cyniques. Antisthène jeta les bases de cette philosophie à Athènes vers 400 ans avant Jésus-Christ. Il avait été l'élève de Socrate et avait surtout retenu la leçon de frugalité de Socrate. Les cyniques mettaient l'accent sur le fait que le bonheur n'est pas dans les choses extérieures comme le luxe matériel, le pouvoir politique et la bonne santé. Le vrai bonheur est de savoir se rendre indépendant de ces conditions extérieures accidentelles et instables. C'est justement parce que le véritable bonheur ne dépend pas de ce genre de choses qu'il est à la portée de tous. Et une fois atteint c'est pour toujours. Le cynique le plus célèbre fut Diogène, qui fut un élève d'Antisthène. On raconte qu'il vivait dans un tonneau et ne possédait qu'un manteau, un bâton et un sac pour son pain. (Difficile dans ces conditions de l'empêcher d'être heureux!) Un jour qu'il était assis devant son tonneau à profiter du soleil, il reçut la visite d'Alexandre le Grand. Celui-ci s'arrêta devant le sage et lui demanda s'il désirait quelque chose. Diogène répondit : "Je veux bien que tu fasses un pas de côté pour laisser le soleil briller sur moi." Il démontra là qu'il était à l fois plus riche et plus heureux que le grand conquérant, puisqu'il avait tout ce qu'il désirait. Les cyniques pensait que l'homme ne devait se préoccuper ni de sa propre santé, ni de la souffrance, ni de la mort. Ils ne devaient pas non plus se laisser troubler en prêtant attention aux souffrances d'autrui. + Lire la suite |
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Le monde de Sophie de Jostein Gaarder
Quand ils ne comparaient pas la vie à un théâtre, les poètes baroques la comparaient à un rêve. Shakespeare, déjà écrivait : "Nous sommes de l'étoffe dont les rêves sont faits, et notre petite vie est entourée de sommeil...."
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Dans le billet que Christine envoie à Raoul, où dit-elle qu'elle se rend ?