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Critique de Tinuviel33
Me poser mille et une questions sur le sens de l'existence, c'est mon Dada (vive les insomnies !). Pour autant, certains essais philosophiques ont vraiment l'art de m'endormir... Et si je remercie bon nombres d'éminents philosophes de participer à mes cures de sommeil, je ne les remercies pas pour la fluidité et l'accessibilité de leurs écris, pour le moins indigestes.
Je pense que pour s'initier à la philo, il faut faire comme pour commencer à faire du vélo : mettre les petites roues. Ou comme pour débuter la lecture, se délecter des Monsieur Madame ou de Tom-Tom et Nana. Mes propos ne sont en rien dévalorisant, je déteste la masturbation intellectuelle, voilà tout. Je suis la première à penser que tous le monde est Capable, en y mettant de la volonté, en prenant du plaisir et en respectant son propre rythme pour ne pas finir dégoûté.
Jostein Gaarder vulgarise la philosophie de façon brillante. On finit par ne plus pouvoir fermer son livre, pris au piège par son intrigue et son savoir qu'il nous distille avec mesure et pertinence. Et même par faire du lien entre une vingtaine de philosophes différents, sans pour autant avoir mal au crane (puisque je vous dit qu'il est brillant!).
Désormais, je peut citer Socrate, Descartes, Kant tout en comprenant réellement ce que je dis, c'est génial !
Que celui qui n'a jamais dit : « je pense donc je suis » ou « être ou ne pas être » ou encore pire « carpe diem » juste pour se la péter me jette la première pierre !
C'était mon premier roman de cet auteur et certainement pas le dernier !
Je pense que pour s'initier à la philo, il faut faire comme pour commencer à faire du vélo : mettre les petites roues. Ou comme pour débuter la lecture, se délecter des Monsieur Madame ou de Tom-Tom et Nana. Mes propos ne sont en rien dévalorisant, je déteste la masturbation intellectuelle, voilà tout. Je suis la première à penser que tous le monde est Capable, en y mettant de la volonté, en prenant du plaisir et en respectant son propre rythme pour ne pas finir dégoûté.
Jostein Gaarder vulgarise la philosophie de façon brillante. On finit par ne plus pouvoir fermer son livre, pris au piège par son intrigue et son savoir qu'il nous distille avec mesure et pertinence. Et même par faire du lien entre une vingtaine de philosophes différents, sans pour autant avoir mal au crane (puisque je vous dit qu'il est brillant!).
Désormais, je peut citer Socrate, Descartes, Kant tout en comprenant réellement ce que je dis, c'est génial !
Que celui qui n'a jamais dit : « je pense donc je suis » ou « être ou ne pas être » ou encore pire « carpe diem » juste pour se la péter me jette la première pierre !
C'était mon premier roman de cet auteur et certainement pas le dernier !
