Deux jeunes femmes sont installées à la terrasse d'un café parisien, chacune seule à une table. Elles se remarquent l'une l'autre, se comparent, se critiquent,... Et leurs différences les renvoient comme un miroir à leurs propres doutes et faiblesses. Il y a donc peu d'action et beaucoup, beaucoup d'introspection : le poids de la solitude, les relations amoureuses, l'apparence, etc.
Les clichés s'accumulent entre la provinciale et la parisienne qui toutes deux voudraient être encore mieux et surtout pas comme l'autre en face d'elle, même si peut-être...
J'ai trouvé que c'était très nombriliste, et même si ce n'est pas faux, de là à y consacrer tout un roman...
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