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Critique de Sorello
black feeling que dire ? si je prend ce livre pour ce qu'il est: une histoire FICTIVE au thème néanmoins très fort alors c'est un coup de coeur. mais je pense qu'il ne faut pas perdre de vue que c'est un roman, qu'il ne doit pas influencer ceux qui souffrent de harcèlement scolaire, qu'ils n'y voient pas, eux aussi, une solution.
au delà de ça, ce livre est un petit bijou de douleur et de haine, dans son genre il m'a vraiment secoué notamment les chapitres en 2001/2002. Mandy est un personnage aussi attachante qu'enervante. attachante parce qu'on suit l'évolution et la douleur de cette jeune adolescente naïvement amoureuse qui se laisse avoir, qui en souffre d'une horrible façon et qui, dans le fond, ne s'en remettra jamais vraiment. énervante parce que j'ai eu envie de la secouer violemment, de lui coller des baffes parfois à la voir devenir bourreau un bourreau antipathique. honnêtement je n'ai pas eu de peine pour cette femme la, pour l'enfant qu'elle a été et qui ne s'en est pas remis oui. pour elle c'était plus difficile. c'est arrivé seulement vers la fin, quand elle prend conscience. enfin.
y aurait beaucoup à dire sur ce livre, le harcèlement scolaire, ce que deviennent les victimes autant que les bourreaux, la culpabilité de chacun. pourquoi ils ont fait ses choix. le débat est sans fin et ce livre à le mérite de faire réfléchir, peu importe ce qu'on pensera au final des actes de chacun: on y pensera, on aura un avis, on ne pourra pas rester insensible à ce récit.
globalement, j'ai pas lâche le livre, je l'ai lu d'une traite en une journée, il réussit l'exploit de nous embarquer très vite dans le vif du sujet et de nous emporter. Mo gadarr et sa plume, simple mais agréable, atteint le lecteur.
un petit bijoux.
au delà de ça, ce livre est un petit bijou de douleur et de haine, dans son genre il m'a vraiment secoué notamment les chapitres en 2001/2002. Mandy est un personnage aussi attachante qu'enervante. attachante parce qu'on suit l'évolution et la douleur de cette jeune adolescente naïvement amoureuse qui se laisse avoir, qui en souffre d'une horrible façon et qui, dans le fond, ne s'en remettra jamais vraiment. énervante parce que j'ai eu envie de la secouer violemment, de lui coller des baffes parfois à la voir devenir bourreau un bourreau antipathique. honnêtement je n'ai pas eu de peine pour cette femme la, pour l'enfant qu'elle a été et qui ne s'en est pas remis oui. pour elle c'était plus difficile. c'est arrivé seulement vers la fin, quand elle prend conscience. enfin.
y aurait beaucoup à dire sur ce livre, le harcèlement scolaire, ce que deviennent les victimes autant que les bourreaux, la culpabilité de chacun. pourquoi ils ont fait ses choix. le débat est sans fin et ce livre à le mérite de faire réfléchir, peu importe ce qu'on pensera au final des actes de chacun: on y pensera, on aura un avis, on ne pourra pas rester insensible à ce récit.
globalement, j'ai pas lâche le livre, je l'ai lu d'une traite en une journée, il réussit l'exploit de nous embarquer très vite dans le vif du sujet et de nous emporter. Mo gadarr et sa plume, simple mais agréable, atteint le lecteur.
un petit bijoux.
