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Critique de Wyoming
Le niveau me paraît avoir baissé d'un cran dans ce deuxième tome de la série qui consiste à revivre en grande partie les événements du premier, vus sous l'angle d'un autre héros, Maurice, avec d'importants retours sur sa vie précédente, aussi peu reluisante que l'actuelle qui le conduit au suicide, ainsi qu'on l'a vu dans le tome 1.
L'univers est identique à celui du premier opus, moins gore sans doute, puisqu'il n'y aura pas de nouvelles scènes de décès qui n'aient pas été détaillées dans le tome 1. Quelques références cinématographiques à Psychose ou Annabellle aident à maintenir l'intérêt du lecteur dans une histoire dont in connaît déjà la fin, ce qui, personnellement, ne m'emballe pas.
Le dessin rend toujours très bien la désespérance des différentes situations, comme par exemple la scène d'auto-défense de la barmaid, le noir est au rendez-vous de chaque planche, pour un ensemble moins sanglant que dans le tome 1.
Mais, pour ma part, je n'ai pas ressenti le frémissement que peut offrir ce genre de roman graphique, encombré sans doute par le dénouement déjà connu.
L'univers est identique à celui du premier opus, moins gore sans doute, puisqu'il n'y aura pas de nouvelles scènes de décès qui n'aient pas été détaillées dans le tome 1. Quelques références cinématographiques à Psychose ou Annabellle aident à maintenir l'intérêt du lecteur dans une histoire dont in connaît déjà la fin, ce qui, personnellement, ne m'emballe pas.
Le dessin rend toujours très bien la désespérance des différentes situations, comme par exemple la scène d'auto-défense de la barmaid, le noir est au rendez-vous de chaque planche, pour un ensemble moins sanglant que dans le tome 1.
Mais, pour ma part, je n'ai pas ressenti le frémissement que peut offrir ce genre de roman graphique, encombré sans doute par le dénouement déjà connu.
