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Critique de Battitta64
Après 4 opus mettant en lumière la testostérone, les travers et les écorchures de la gent masculine, c'est à la féminine d'occuper le devant de la scène du tome 5 de la fabuleuse sage RIP avec Fanette.
Et comme toujours, ça décoiffe ! (Ok je n'ai plus grand-chose sur le caillou mais ça va, hein ! )
Comme ces messieurs, la dame ne laisse pas sa part aux lions.
Au fil des précédents épisodes, on la voyait plus équilibrée, on la pensait moins torturée, et elle incarnait un peu le radeau de sauvetage de nos anti-héros se réfugiant dans l'alcool et la chaleur de troquet… mais comme à chaque fois, Gaets, encore et toujours servi par le dessin de Monier, fait tout voler en éclat avec un scénario génial.
C'est toujours aussi sombre, toujours aussi glauque, toujours violent et politiquement incorrect… mais toujours aussi bon et jouissif !
Merci pour ce nouveau shoot de plaisir en bulles, et pour parler peu, qu'est-ce que j'ai hâte de découvrir Eugène dans ses moindres détails !
Et comme toujours, ça décoiffe ! (Ok je n'ai plus grand-chose sur le caillou mais ça va, hein ! )
Comme ces messieurs, la dame ne laisse pas sa part aux lions.
Au fil des précédents épisodes, on la voyait plus équilibrée, on la pensait moins torturée, et elle incarnait un peu le radeau de sauvetage de nos anti-héros se réfugiant dans l'alcool et la chaleur de troquet… mais comme à chaque fois, Gaets, encore et toujours servi par le dessin de Monier, fait tout voler en éclat avec un scénario génial.
C'est toujours aussi sombre, toujours aussi glauque, toujours violent et politiquement incorrect… mais toujours aussi bon et jouissif !
Merci pour ce nouveau shoot de plaisir en bulles, et pour parler peu, qu'est-ce que j'ai hâte de découvrir Eugène dans ses moindres détails !
