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Critique de ramettes
A la question : « peut-on lire ce tome individuellement ? » Oui on a assez d'éléments pour comprendre cette partie de l'histoire mais cela n'a pas trop de sens puisque c'est la conséquence des tomes précédents. Alors je conseille vraiment de lire dans l'ordre pour comprendre toutes les subtilités et voir l'évolution entre ces trois étapes dans la vie d'Anna.
Que de chemins parcourus par Anna depuis la vie de lycéenne parisienne. Dans les deux tomes précédents nous avons vu comment le projet « Power Club » avait viré au cauchemar. Dans ce troisième tome l'aspect politique qu'implique la présence de cette technologie est encore plus présent.
L'amitié, l'amour et autres liens affectifs sont là pour soutenir Anna mais est-ce que se sera suffisant face aux épreuves qui l'attendent ?
Être la dernière super héroïne issu du Power Club est-ce un rôle enviable ?
Être une super-héroïne est-ce être invulnérable ?
Restera t elle la seule super-héroïne ?
Restera t elle du côté du bien ?
Perdra t elle la raison ? La vie ? Ses super-pouvoirs ?
Quel avenir sera possible à l'issu de ce troisième volet de la trilogie ?
Le bien, le mal, qui gagnera ?
Toutes ces questions et bien d'autres seront développées dans cette fiction qui fait écho à notre société !
On retrouve certains personnages que nous avions rencontrés dans les tomes précédents mais quelques nouveaux viennent relancer les dés… de plus l'axe du mal a pris du galon… mais gardon le suspens !
Ce qui j'ai aimé dans cette trilogie c'est qu'Anna reste profondément humaine. Elle a 19 ans dans ce tome et il faut qu'elle gère ses traumatismes, tous les bouleversements dans sa vie de tous les jours et rester une jeune femme. Alain Gagnol ne nous la présente pas comme complètement inaccessible. Les amis, la famille et les simples personnes sont au coeur de ses préoccupations, elle n'a pas perdu ses priorités et elle se pose s'en arrêt des questions. Elle acquière au fil des tomes une conscience politique.
Les autres personnages évoluent au fur et à mesure qu'ils grandissent et qu'ils doivent affronter des épreuves.
Ce qui est intéressant c'est l'idée des dérives des découvertes scientifiques quand des enjeux politiques et financiers essaient de prendre le contrôle d'un projet « positif ».
Il y a aussi de l'humour pour dédramatiser certaines scènes.
Alain Gagnol ne la ménage pas et nous non plus, on va d'un rebondissement à un autre !
Lien : http://ramettes.canalblog.co..
Que de chemins parcourus par Anna depuis la vie de lycéenne parisienne. Dans les deux tomes précédents nous avons vu comment le projet « Power Club » avait viré au cauchemar. Dans ce troisième tome l'aspect politique qu'implique la présence de cette technologie est encore plus présent.
L'amitié, l'amour et autres liens affectifs sont là pour soutenir Anna mais est-ce que se sera suffisant face aux épreuves qui l'attendent ?
Être la dernière super héroïne issu du Power Club est-ce un rôle enviable ?
Être une super-héroïne est-ce être invulnérable ?
Restera t elle la seule super-héroïne ?
Restera t elle du côté du bien ?
Perdra t elle la raison ? La vie ? Ses super-pouvoirs ?
Quel avenir sera possible à l'issu de ce troisième volet de la trilogie ?
Le bien, le mal, qui gagnera ?
Toutes ces questions et bien d'autres seront développées dans cette fiction qui fait écho à notre société !
On retrouve certains personnages que nous avions rencontrés dans les tomes précédents mais quelques nouveaux viennent relancer les dés… de plus l'axe du mal a pris du galon… mais gardon le suspens !
Ce qui j'ai aimé dans cette trilogie c'est qu'Anna reste profondément humaine. Elle a 19 ans dans ce tome et il faut qu'elle gère ses traumatismes, tous les bouleversements dans sa vie de tous les jours et rester une jeune femme. Alain Gagnol ne nous la présente pas comme complètement inaccessible. Les amis, la famille et les simples personnes sont au coeur de ses préoccupations, elle n'a pas perdu ses priorités et elle se pose s'en arrêt des questions. Elle acquière au fil des tomes une conscience politique.
Les autres personnages évoluent au fur et à mesure qu'ils grandissent et qu'ils doivent affronter des épreuves.
Ce qui est intéressant c'est l'idée des dérives des découvertes scientifiques quand des enjeux politiques et financiers essaient de prendre le contrôle d'un projet « positif ».
Il y a aussi de l'humour pour dédramatiser certaines scènes.
Alain Gagnol ne la ménage pas et nous non plus, on va d'un rebondissement à un autre !
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