J'y connais rien au jazz mais ce Simon m'a ému, ce Simon qui après 10 ans et dix minutes attend la pause, la sortie des musiciens, hésite, monte sur scène, pose les doigts sur le piano et enchante la salle qui se demande si c'est vraiment le Simon Nardis qui avait disparu?
La patronne Debbie l'accompagne alors au chant, le séduit, Simon rate le dernier train, prévient sa femme Suzanne.
J'aime bien l'écriture de
Christian Gailly, délicate, même si un peu démodée.
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